5 leurres de surface incontournables pour la pêche du bar

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Il est 21h, les derniers rayons du soleil commencent à disparaitre, remplacés instantanément par les moustiques. Si ces démoniaques bêbêtes volantes se déchainent à la nuit tombée, une autre espèce, aquatique celle-ci, n’est pas en reste. Un « plouf », deux « ploufs », et ce sont des centaines de petits poissons qui éclatent à la surface de l’eau, poursuivis par les gueules ouvertes des bars/loups qui viennent s’en gaver le long des côtes, sur les herbiers ou au cœur des épis rocheux. Vous ne savez plus où donner de la tête, vos boites de leurres dégueulent de dizaines de leurres. Lequel équiper ? Dans la précipitation, comment ne pas se tromper et passer à côté de la frénésie d’un coup du soir, qui peut se révéler aussi intense que bref ? Dans cet article, nous avons sélectionné 5 leurres de surface qui ont fait leurs preuves lorsque les poissons sont actifs.

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De gauche à droite : Mousty, Asturie, Z-claw, Naja et Chihuahua

Z-claw, d’un Z qui veut dire Z-claw !

Son profil associé à un très bon équilibrage autorise les longs lancers même par vent de face, ce qui est un véritable atout quand on sait que les poissons éduqués se tiennent loin du bord. Particulièrement recommandé pour les prospections des larges étendues d’eau, son maniement en walking the dog fera monter à la surface les poissons les plus difficiles.

Sa nage : https://www.youtube.com/watch?v=4ZkOpk-vk8Q

Le leurre : https://www.integralpeche.fr/fiche/leurre-zenith-z-claw-original-10-cm/49645

Chihuahua, tintintintintin

Au premier regard, le CHIHUAHUA ressemble à un stickbait tout ce qu’il y a de plus classique mais une fois dans l’eau, sa nage combinée à un système sonore performant font véritablement la différence. Croyez-le ou non, il n’est pas devenu célèbre du fait de la chanson du même nom ! Le Chihuahua  est depuis des années sûrement l’un des meilleurs leurres de surface pour pêcher le bar. Vous percevez les capacités exceptionnelles de ce leurre au premier lancer, vous serez immédiatement surpris par la distance à laquelle vous l’aurez propulsé. Le walking the dog du Chihuahua s’obtient facilement et fonctionne en récupération très lente à très rapide, les meilleurs résultats sont obtenus par mer calme mais il parvient à faire monter des poissons même par mer formée.

Le leurre : https://www.integralpeche.fr/fiche/leurre-luna-bait-chihuahua-110/67656

Asturie, le missile longue portée

Grâce à sa forme étudiée en soufflerie, l’Asturie est peut être le leurre de surface qui se lance le plus loin. Il est donc particulièrement indiqué pour les pêches depuis le bord ou pour les pêches de prospection en bateau. Très facile à manier, il supporte des vitesses de récupération très rapides. Si la réputation de l’Asturie n’est plus à faire auprès des pêcheurs de bars, sachez que les perches, black bass et brochets réagissent également très bien à sa nage caractéristique. Un leurre que tous les pêcheurs du bord devraient avoir dans leur boîte.

Le leurre : https://www.integralpeche.fr/fiche/leurre-xorus-asturie-150mm/67520

Mousty, l’arme lourde pour les poissons mordeurs

Les amateurs de pêches en surface animées apprécient de plus en plus le  stickbait Mousty à tel point qu’il est parfois difficile de s’en procurer ! L’arrivée de la nouvelle taille de 95 mm a également plu aux pêcheurs en eau douce qui ont pu faire de très belles pêches sur les bass et les perches. Les équipes Sakura ont concocté cette année une taille de 110 mm d’une extrême polyvalence…à ne pas rater !

Le modèle original de 125 mm est devenu un “must” pour les pêcheurs de loups qui retrouvent de belles sensations en surface. Conçus pour toutes les pêches où l’on souhaite un leurre qui bat le rappel à distance sur nos côtes ou en exotique (mer et eau douce – peacock bass), le Mousty s’est très vite imposé comme une nouvelle référence parmi les nombreux stickbaits du marché.

Sa nage : https://www.youtube.com/watch?v=7e0QnNLGCJI

Le leurre : https://www.integralpeche.fr/fiche/leurre-stickbait-sakura-mousty-110f/70921

Naja, quand efficacité et simplicité

Les stickbaits Naja vous mettront en confiance dès le premier lancer tant leur animation est simple et efficace. 

Que vous soyez novice ou expérimenté, les faire zigzaguer, glisser, sauter ou plonger, est un véritable jeu d’enfant !

Parfaitement équilibrés et stables lors des lancers, ils fendent l’air et filent droit comme des fusées vers les postes les plus éloignés.

Grâce à un équilibrage minutieux, ils supportent tous types d’animations (walking the dog, long slide, etc.), mais excellent dans les nages nerveuses qui reproduisent à la perfection le comportement du poissonnet en fuite.

La nage : https://www.youtube.com/watch?v=PfO1Do91iA8

Le leurre : https://www.integralpeche.fr/fiche/leurre-stickbait-sakura-naja-105-mm/42329

Tous ces modèles sont d’excellents leurres de surface, et vous rapporteront à coup sûr du poisson les jours où ceux-ci chassent ! Et, ça tombe bien, cette semaine et jusqu’au 22 juillet 2021, ils sont tous en promotion sur www.integralpeche.fr. Coïncidence ? Je ne crois pas !

Les meilleurs appâts pour la pêche en mer

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Des appâts pour la pêche en mer, il en existe des dizaines de sortes. Entre les vers, les crustacés, les coquillages, les céphalopodes et même les poissons, difficile de s’y retrouver. Si tous ont prouvé leur efficacité, certains se démarquent plus que d’autres selon les conditions de pêche, les poissons recherchés et que l’on pratique du bord ou en bateau. Petit palmarès des appâts d’eau salée répartis dans différentes catégories.

Le plus populaire : le vers américain

C’est le best-seller incontesté chez les détaillants de pêche. Et ce n’est pas son accent british qui fait son succès. Sa célébrité méritée, il la doit à une combinaison de facteurs qui font de lui un appât complet, le vers ultime ! Il est résistant, polyvalent, facile à conserver, et disponible toute l’année.

Utilisation : en surfcasting du bord  ou à soutenir en bateau, s’esche facilement avec une aiguille. 

Le plus résistant : le bibi

Celui qui tiendra le mieux et le plus longtemps à l’hameçon est incontestablement le bibi. Le bibi est un gros vers très solide qui, grâce à sa peau très dure, est extrêmement résistant une fois esché sur l’hameçon, et qui aura pour avantage de ne pas se déchirer. Autre atout du bibi, il sera difficile pour un petit poisson de s’en saisir et de partir avec comme c’est malheureusement parfois le cas pour les autres vers. Les daurades royales en sont friandes.

Utilisation : en surfcasting ou avec une canne à buscle plus sensible. Enfiler le bibi sur un hameçon daurade N°1, 0 ou 1/0 à l’aide d’une aiguille creuse pour ne pas l’abimer. Pour parfaire sa tenue et sa présentation, vous pouvez le ligaturer grâce à du fil soluble.

Mention honorable : le mourron de Bordeaux, véritable aimant à daurades, et qui lui aussi tient très bien à l’hameçon.

Le plus sélectif : le bibi

Le bibi est encore une fois à l’honneur. Sa taille et sa résistance lui assurent de n’être engamé que par des poissons de belle taille. Il sélectionne donc le gabarit des poissons, mais aussi bien souvent leur espèce : la daurade royale est le prédateur le plus vorace lorsqu’il s’agit de s’attaquer à un beau bibi bien présenté.

Mention honorable : le crabe. Comme le bibi, il aura tendance à sélectionner les daurades. Les grosses royales ont d’ailleurs un faible pour les petits crabes verts. Pour ne louper aucune touche, pensez au montage à deux hameçons !

Le plus polyvalent : demi-dure et dure rouge

Polyvalents, économiques et faciles d’utilisation, les demi-dures et les dures rouges sont les vers les plus abordables pour qui souhaite s’initier à la pêche et pour celui qui ne veut pas « se prendre la tête ». Chaque sortie avec ces appâts vous permettra –sauf exception- de faire du poisson. Du petit, du moyen et parfois du gros. En effet, peu sélectifs, ces vers pourraient bien séduire une belle daurade ou un joli loup. La demi-dure est d’ailleurs un appât que les pêcheurs au bouchon lumineux utilisent la nuit pour traquer le bar. Son emploi à la ligne flottante est optimale, car son efficacité redoutable ne souffre que de sa grande fragilité et le rend donc difficile à lancer loin.

Utilisation : sur un hameçon 4 à 8, monté sur une ligne avec un flotteur d’1 à 4 grammes.

Celui qui réserve le plus de surprises : la crevette

Qu’on l’utilise vivante ou morte, la crevette est un appât de choix, qui réserve bien des surprises à qui s’en sert. Il convient à toutes les techniques, et même si il est à la base destiné à la traque des daurades et des sars, les loups ne rechignent pas à s’en saisir lorsque qu’ils passent à côté. De même, les gros poissons comme le mérou et le denti en sont également friands. L’avantage de cet appât est qu’il existe en différentes tailles, de la petite crevette grise à la grosse gambas, et en cela, il peut être sélectif.

Utilisation : classique, à la ligne flottante, ou en surfcasting en prenant bien soin de la ligaturer sur la ligne. Plus récemment, une technique venue d’Asie s’impose dans l’hexagone, tant les résultats obtenus sont positifs : le tenya.

S’il n’y a pas de « meilleur appât », il existe néanmoins des appâts meilleurs que d’autres selon les conditions de pêche et les espèces recherchées. Le mieux reste de demander conseils à votre détaillant pour connaitre le pattern du moment !

Parole d’expert #1 Franck Mederres, guide de pêche à Port-Saint-Louis du Rhône

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Pour ce premier numéro de « Parole d’expert », nous avons voulu en savoir plus sur le métier de guide de pêche. Nous avons donc rencontré Franck Medderes, guide fraichement installé à Port-Saint-Louis du Rhône, et qui nous a fait l’amabilité de répondre à nos questions.

Peux-tu te présenter en quelques mots ?         

Je m’appelle Franck Mederres, j’ai grandi et toujours vécu dans le sud de la France à Bellegarde (30). Titulaire d’un BPJEPS Moniteur Guide de Pêche et de l’UCC Mer, je suis passionné de pêche et du milieu aquatique marin depuis toujours.

Pourquoi as-tu voulu devenir guide de pêche ?

J’ai décidé après plus de 35 années passées dans l’industrie pétrochimique en tant que soudeur de mettre entre parenthèses cette activité et de proposer mes services  comme moniteur guide de pêche certifié en mer Méditerranée, afin de m’épanouir dans un métier-passion !

Parles-nous de ta société, Méditerranée Sport Fishing.

Suite à l’obtention de ma carte professionnelle d’éducateur sportif décernée par Jeunesse et Sport,  j’ai créé mon entreprise en mars 2021. Même si j’avais plusieurs noms en tête, j’ai  choisi celui de « Méditerranée Sport Fishing », qui définit le mieux  ce que je voulais proposer en matière de guidage. La pêche sportive des grands poissons marins comme le thon rouge me fascine depuis toujours, et c’est pour cette raison que je me suis lancé dans cette nouvelle aventure humaine, et que je propose désormais mes services en tant que guide, dans le but également de susciter de nouvelles passions. Même si j’ai un amour tout particulier pour la pêche du thon, d’autres pélagiques et diverses espèces sont proposés lors de mes guidages : « Qui peut le plus peut le moins ! » . Je propose de pêcher des zones que je connais très bien : vous me trouverez la majeure partie du temps au large de Port-Saint-Louis du Rhône, là où j’accueille d’ailleurs les pêcheurs-stagiaires.

Comment se déroule une journée de guidage type ?

Une journée de pêche dure en moyenne 9h, ce qui permet notamment de découvrir plusieurs techniques et d’adapter la pêche aux conditions du jour pour toucher du poisson. En fonction de l’espèce recherchée, les journées de pêche sont différentes, et les spots prospectés varient (pleine mer, épaves, côtes rocheuses…). L’ensemble du matériel haut-de-gamme est mis à disposition des pêcheurs. Avant chaque sortie, je briefe les pêcheurs sur la tenue à adopter (attention aux coups de soleil !), et je leur conseille des vêtements adaptés (anti UV si possible, lunettes polarisantes…). Chaque sortie est unique !

A qui s’adressent ces journées ?

A tous les publics, aux débutants comme aux confirmés. J’aurai à cœur de mettre à l’aise les novices et d’initier les plus expérimentés à de nouvelles techniques de pêche. Toutes les tranches d’âges sont les bienvenues à bord, et je saurai adapter la pratique et l’espèce recherchée pour les enfants notamment, dont la force physique sera parfois limite pour se mesurer à un gros thon !

Quels poissons peuvent être recherchés ?

Tous les poissons de Méditerranée pourront être recherchés en fonction des saisons : loups, tassergals, liches, thons rouges, bonites et bonitous, thonines, et tous les poissons de fond comme le pagre, le denti, le pageot, le chapon… Selon vos envies et les poissons en présence, nous pourrons traquer telle ou telle espèce, mais aussi séquencer la journée pour varier les prises.

Quelles techniques proposes-tu ?

  • Pêche du thon au broumé ou sur chasse avec différents leurres
  • Pêche du loup et du tassergal aux leurres 
  • Pêche de la liche aux appâts naturels en dérive et aux leurres dans l’embouchure du Rhône
  • Pêche des sparidés en verticale avec du matériel électronique dernier cri

Un souvenir de pêche à partager ?

Pêche du thon au broumé, septembre 2020, des conditions météo et marine exceptionnelles, une Méditerranée turquoise, d’une rare clarté : on pouvait voir le broumé descendre et observer les thons engloutir les sardines puis revenir dès que le menu était resservi. Un moment magique et privilégié avec plusieurs beaux spécimens sortis ce jour-là.

Comment peut-on te contacter ?

En espérant que cela vous a donné envie d’embarquer sur le Gardian2, vous pouvez me contacter au 06 64 26 38 31 ou via mon site web : https://xn--mditerrane-sport-fishing-bfci.com/.

Zoom sur la pêche au jig ou jigging

peche au jig jigging

Cette technique de pêche est largement pratiquée par les amateurs et pêcheurs plus aguerris. Son point fort ? Elle vous permet d’attraper de grosses prises ! Animation, matériel, choix du jig… On vous en dit plus sur la pêche au jigging.

Pêche jigging ou jig : de quoi parle-t-on ?

La pêche au jigging, aussi appelée pêche au jig ou encore jig casting, est une technique de pêche en mer, tout droit venue du Japon. Elle est aujourd’hui largement pratiquée par les pêcheurs du monde entier, qu’ils soient amateurs ou plus aguerris.

La raison de ce succès ? Sa capacité à faciliter la capture de gros poissons d’espèces différentes (sériole, denti, liche, bar, bonite, dorade coryphène, sabre, espadon, lieu, maquereau, vive, saint-pierre…).  

La pêche au jigging permet de pêcher dans des eaux profondes (de 20 à 200 m de fond) ou qui présentent des variations de reliefs ou encore soumises à de forts courants. Cette pratique permet ainsi de pêcher dans des zones généralement peu accessibles et où les autres formes de pêche sont moins adaptées.

Pour pêcher au jig, le pêcheur anime un leurre métallique plombé en forme de poisson, nommé le jig. D’où le nom de cette technique !

Le saviez-vous ? Si elle s’avère adaptée à la pêche en mer, la pêche au jig peut également se pratiquer en eau douce.

Zoom sur l’animation du jig

L’animation du jig est un point technique essentielle. En pratique, il convient de faire couler le leurre vers le fond et de le remonter jusqu’à la surface de façon saccadée et à vitesse variable. L’idée et de faire dandiner le jig. Cette animation doit être répétée sans cesse.

En effet, le but ici est de donner l’illusion d’un appât vivant pour attirer les carnassiers, qui ont des réflexes de chasse et d’attaque. En plus, cela permet de sonder tous les étages de l’eau.

Quel leurre choisir ?

Pour choisir ses leurres (jig ou jig casting), il faut porter une attention particulière à leurs poids et couleurs. Ces deux critères sont à choisir en fonction des caractéristiques de votre zone de pêche.

Le poids des Jigs

  • Poids supérieur ou égal à 60g. (jig lourd): pour les pêches en eaux profondes voire très profondes, eaux agitées avec beaucoup de courant, pour lancer loin ou pour pêcher à la verticale en bateau ;
  • Poids entre 20 et 40g. : pour diverses situations et conditions, c’est le grammage le plus polyvalent ;
  • Inférieur ou égal à 10g. : pour les pêches fines sous la surface de l’eau ou en eaux calmes (mer ou eau douce).

LA COULEUR DES JIGS

  • Phosphorescent : pour les eaux à faible luminosité, pêche pratiquée le matin ou le soir ;
  • Fluo : pour les eaux tintées ou eaux troubles ;
  • Naturel : pour les eaux claires, pêche par temps calme et ensoleillé.

Quel matériel pour pêcher au jig ?

  • La canne : pour la pêche en jigging, il est conseillé d’utiliser une canne de jigging. Ce type de canne à pêche est courte (entre 1.7 et 2.7 mètres), souple, avec une action de canne en pointe, assez puissante pour pouvoir animer le leurre ;
  • Le moulinet : privilégiez un mouliner à tambour fixe, spécifique au jigging. Il doit être robuste et puissant pour être capable de remonter rapidement le leurre, et votre capture ;
  • La tresse : il est conseillé d’utiliser une tresse multicolore en corp de ligne entre 12/100 et 16/100, suivant la taille des poissons recherchés et le poids de votre casting jig. Pour le bas de ligne, préférez un nylon fluorocarbone (adapté aux carnassiers).

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations sur le matériel nécessaire pour la pêche en jig casting. Retrouvez également tous nos produits dédiés à la pêche aux carnassiers sur notre site www.integralpeche.fr.

Quel matériel pour la pêche en bord de mer ?

Pêche au flotteur, au posé, surfcasting, rockfishing… Il existe différentes techniques pour pêcher en bord de mer. Le matériel à utiliser dépend de ces techniques. Explications.

La pêche en bord de mer est plébiscitée par les pêcheurs qui habitent près de la mer ou qui y séjournent pour les vacances. Ce type de pêche a l’avantage de se pratiquer dans de nombreux spots (sur les ports, les digues, les côtes rocheuses ou encore depuis la plage). La pêche en bord de mer offre également un large choix de techniques de pêche. Parmi elles, on retrouve notamment la pêche au flotteur, au posé, le surfcasting ou encore le rockfishing… Découvrez quel type de matériel doit être utilisé en fonction de ces techniques de pêche en bord de mer.

Quel matériel utiliser pour la pêche au flotteur ?

La pêche au flotteur (aussi appelé pêche au bouchon) est une technique qui consiste à maintenir l’appât entre deux eaux en la soutenant sous un flotteur. Ce flotteur constitue également l’indicateur de touche. Il s’agit d’une technique de pêche adaptée à tous, qui peut se pratiquer dans différents lieux (digues, plages, ports…) et qui permet de pêcher une grande diversité de prises.

Elle se pratique avec une canne à coup (avec ou sans moulinet). Préférez une canne à pêche courte (de 2,5 à 4 mètres) si vous pêchez près du bord. Si vous pêchez plus loin, il vous faudra une plus grande canne. Pour ce type de pêche et selon le spot choisi, vous devez avoir un flotteur plus ou moins résistant au courant. Enfin, utilisez une ligne alliant discrétion et résistance. Par exemple, si vous souhaitez pêcher de gros poissons, privilégiez un bas de ligne en 30/100 et un fil de 35/100 pour votre corps de ligne.

Quel matériel pour la pêche au surfcasting ?

La pêche au surfcasting consiste à lancer sa ligne dans les vagues depuis la plage. Pour cette technique de pêche en bord de mer, préférez une longue canne, de 4 à 5 mètres. Elle doit être puissante et robuste pour permettre de lancer des plombs de deux cents grammes environ et des appâts volumineux. Sachez qu’il existe des cannes à pêche spécialement conçues pour le surfcasting : les cannes de surfcasting. Certaines sont à emboîtement, d’autres sont télescopiques. Les cannes télescopiques ont l’avantage de ne pas être encombrantes et d’offrir la possibilité de laisser vos lignes montées. Côté moulinet, privilégiez un moulinet spécial surfcasting avec une bobine de type « long cast ». Enfin, vous devrez également utiliser un support de canne. Cet accessoire permet de fixer la canne face à la mer. En fonction de votre budget et de vos besoins, utilisez un trépied ou une pique de surf.

A noter : en Méditerranée, où les vagues sont plus petites et le courant faible, les pêcheurs pratiquent plutôt le surfcasting léger (ou surf light). Cette technique a la particularité de se pratiquer avec du matériel moins puissant et beaucoup plus sensible.

Quel matériel utiliser pour la pêche à la calé ?

La pêche à la calée (ou au posé) est une pêche de fond, qui se pratique à la plombé. Les pêcheurs « calent » leur canne à pêche sur les rochers, sur une digue ou sur un port grâce à un piquet ou à un porte-canne. Souvent la canne est dans une position presque verticale, entre 45 et 90°. Cette technique est particulièrement efficace pour la pêche des carnassiers.

Côté matériel, utilisez une canne à anneaux de 3 à 4 mètres de long, munie d’un scion et équipée d’un moulinet standard. La canne doit être assez puissante pour supporter les lancés lourds. Le choix du poids du plomb dépend de la profondeur et du courant présent à l’endroit où vous pêchez. Le choix du nylon, lui, dépend du poisson recherché et du lieu de pêche. Celui-ci devra être discret tout en étant robuste. Pour le bas de ligne, préférez un fil en fluorocarbone.

Quel matériel pour le rock-fishing ?

Le rock-fishing est une technique de pêche aux leurres qui se pratique en bord de mer dans les rochers, mais aussi sur les ports et les digues. Cette technique permet de traquer des petits carnassiers.

Elle nécessite un matériel ultra léger, qui permet de lancer des leurres souples de 1 à 7 grammes. Pour cela, munissez-vous d’une canne à scion d’une longueur allant de 2 à 3 mètres et équipée d’un moulinet dont la taille est comprise entre 1000 et 2000. Le rock-fishing nécessite aussi un fil assez résistant à l’abrasion. Vous pouvez aussi utiliser de la tresse.

Pour plus d’informations ou conseils sur la pêche en bord de mer, n’hésitez pas à nous contacter. Aussi, rendez-vous sur notre site www.integralpeche.fr pour découvrir nos différents produits dédiés à la pêche en mer.

Quels poissons pêcher en hiver ?

A l’instar des fruits et des légumes, il y a des saisons pour les poissons ! Selon les mois et les températures, le pêcheur doit s’adapter au comportement des espèces. En hiver, la tâche est plus compliquée. D’une part, la froideur hivernale plonge les poissons dans un état de quasi-hibernation dont ils ne sortent qu’au printemps. D’autre part, la pêche en hiver est règlementée pour respecter le cycle de reproduction de certaines espèces. Pas la peine de ranger les cannes pour autant, la pêche en hiver a beaucoup à offrir.

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Pêche en surfcasting léger, quel moulinet?

Surfcasting léger, quel moulinet de pêche?

La pêche en surfcasting léger se pratique avec des cannes fines et maniables ayant un poids avoisinant les 400 à 450 grammes.

De tels cannes ne peuvent être équipée d’un moulinet surfcasting lourd qui déséquilibrerait l’ensemble.

Pour une pratique agréable une canne de surfcasting léger devra trouver pour partenaire un moulinet n’excédant pas les 600 grammes.

Les caractéristiques idéales d’un moulinet de surfcasting léger sont aussi une récupération élevée avoisinant le mètre par tour de manivelle et une bobine de type long cast pour favoriser les longs lancers.

Moulinet surcasting Mitchell.

Un bon moulinet pour le surfcasting léger.

A la pêche en surfcasting léger le pêcheur est souvent amené à utiliser des bas de ligne fins pour tromper la méfiance des poissons, un frein précis s’impose donc.

La poignée de manivelle sera de préférence en forme de T afin de facilité le maniement et éviter toutes crispations.

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pêche en surfcasting léger.

La pêche en surfcasting léger, où et pourquoi?

La pêche en surfcasting est une pêche que l’on pratique depuis les plages avec des montages comportant un ou plusieurs bas de lignes, ces bas de lignes reposent sur le fond en règle générale mais peuvent aussi si on le désire être décollés de celui-ci.

La pêche en surfcasting léger trouve sa principale raison d’être sur le littoral Méditerranéen ou la mer à la belle saison autorise des montages relativement légers avoisinants les 60 à 100 grammes.

Canne surfcasting léger Exeler Daiwa.

Canne surfcasting léger, un must pour pêcher la Dorade.

Dorades et autres Sparidés nécessitent  des cannes sensibles à la touche tout en étant capable de mener des combats parfois rudes, les cannes de surf léger trouve là leur terrain de prédilection.

Les cannes de surfcasting léger ont des longueurs généralement comprises entre 3.90 m et 4.20 m pour des puissances de l’ordre de 100 à 120 grammes, les modèles télescopiques sont les plus représentés et se montrent très maniables et à même de pratiquer une pêche itinérante à la recherche du poisson.

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